Présentation

Bonjour, je me présente, Christine, j’ai un jardin dans un village, entouré par quelques maisons et en 2e plan, des champs, un petit bois… Je suis dans le Jura suisse, en plaine, en 7a, je pense. Je désire favoriser au mieux la biodiversité et pour cela, je fauche très peu souvent, 2 fois l’an dernier, avec la barre de coupe au plus haut et cette année, j’ai juste faucher des allées. J’ai laissé des branches creuses d’anciens tournesols et autres plantes à coté du compost, il y a deux arbres fruitiers, un pommier et un prunier, j’ai planté un abricotier et un pêcher (qui ne sont pas forcément les fruitiers les plus adaptés) et un cerisier. J’ai un petit potager où je mélange les légumes et fleurs comme lin, soucis, tagètes et cosmos… j’ai placé aussi une vieille souche dans une partie et depuis plusieurs années se débrouillent seuls de la bourrache, de la consoude, ainsi que des orties. voilà pour la présentation demandée, est-ce que cela convient comme ça ? à bientôt, Christine

Bonjour Christine, 

bienvenue dans le groupe ! Merci pour cette présentation. 

J'habite les bouches du Rhône et J'ai également un petit jardin (environ 250m2) dans un lotissement avec quelques arbres fruitiers, un potager et bien sûr un compost, un coin tas de branches, et de petites zones en friche. Cette année nous n'avons pas tondu les zones enherbées mais cela n'a pas été facile de convaincre “monsieur” ! 

J'ai rejoint ce groupe pour apprendre à transformer mon jardin pour le rendre le plus accueillant possible pour les pollinisateurs et enrichir sa biodiversité. j'espère aussi convaincre d'autres de le faire !

A très bientôt.

Hello, merci pour la presentation. 😊

j’habite à Paris (20e, pas loin du Père Lachaise) et je suis à moitié originaire du Lot, où je suis pour les congés actuellement dans la maison familiale.

deux environnements différents :

- à Paris, j’aménage au mieux un balcon de 2 m2 et je me bouge pour que le jardin de la copro soit plus propice à la biodiversité.

- dans le Lot, il y a une demi hectare en bordure de forêt où je remets des haies, où je paille, semé de l’engrais vert dans les parcelles de jardins, en essayant de prévoir les 20 années pourraves à venir en termes d’eau.

 

Jeureux d’échanger avec vous tous et toutes ! 😊

 

Bonjour, je suis Fabienne Raymond, j'ai un jardin dans le Charolais en Saône-et-Loire, région d'élevage de bovins et donc de bocage (prairies + haies). Depuis plusieurs années je pratique la fauche tardive, la permaculture, j'ai des haies, une mare, de la broussaille et des orties. J'avoue qu'en mai ce n'est pas facile avec une végétation exubérante de  ne pas faire un grand nettoyage et de supporter le regard des voisins mais je tiens bon. Je vais faire le diagnostic fourni dans les “ressources” pour voir ce que j'ai pu oublier de faire ou pas faire au jardin. Ce qui m'intéresserait c'est faire un petit courrier à mes voisins sur les pollinisateurs et ce qu'on peut faire pour eux dans nos jardins mais je crains que ça soit mal perçu. Est-ce une bonne idée ? Votre avis m'intéresse. Je vais d'abord faire l'expérience avec la famille. J'ai été très intéressée par les 1ères discussions du groupe. C'est vrai qu'il sera difficile de se fixer des objectifs, peut-être faut-il rester modeste au début. Est-ce que un des objectifs pourrait être  :comment parler de l'importance des pollinisateurs à nos voisins, à nos proches ? un autre objectif : tout simplement entraide et encouragements ? Merci pour ce début prometteur. Un petit salut particulier à la personne du groupe qui habite également en Saône-et-Loire, moi je suis dans un petit village de 200 habitants, Saint-Bonnet-de-Vieille-Vigne, entre Charolles et Palinge.

Bonjour !

Ma maison de campagne est à Saint-Vallier, lieu dit “Les cornes”, à environ 25 minutes de Saint-Bonnet-de-Vieille-Vigne ! Je suis aussi retraitée mais plutôt débutante au jardin. Je suis en butte à l'opposition familiale qui souhaiterait faire “propre” mais qui accepte de me faire plaisir. Et je résiste (ouille les chardons en tongs, ça pique, me dit-on). Je ne risque pas de diffuser mes idées aux voisins : mes voisines les plus proches sont des vaches (même si notre terre est nettement moins bonne que dans le Charolais) et je ne me vois pas trop donner mes idées écolo à des personnes qui connaissent la terre depuis des générations…Avec mes amis à Lyon, je suis triste de constater qu'ils pensent que les insectes, ça pique et que les mouches, c'est sale. Ils ne connaissent même pas l'existence des abeilles sauvages : difficile de protéger “ce qui n'existe pas”. Comme je débute au jardin, je me demande si nous pourrions nous rencontrer car j'ai beaucoup à apprendre et c'est compliqué car je ne suis pas toujours sur place. Inversement, je me dis que quand je suis absente, je flanque la paix à la biodiversité !  J'ai fait mettre en place des bacs potagers et ai pour la première année, planté trois plants de tomates et des fleurs. 

A bientôt.

Thérèse